En contraste avec la minéralité et la blondeur de la chapelle, une arborescence végétale envahit le sol granitique pour prendre racine dans la nef. Entre noirceur et message d’espoir, ce système racinaire prend son origine dans le chœur d’un arbre rompu en mouvement qui ne semble pouvoir retrouver son intégrité.
Vernissage le 17 janvier à 18h30
©Marie-Hélène Richard